Depuis le début de l'été 2011, je suis au chômage. Mais je n'ai pas l'intention d'y rester, le climat politique et économique ne m'y invite guère.
En février 2012, je m'accorde quand même deux jours à Rome, dont je reviens émerveillé.
Un mois plus tard, je retrouve du travail chez un tout petit éditeur de logiciel spécialisé dans les RH. La localisation des bureaux (à vingt minutes
de vélo de chez moi), ainsi que leur disposition (fini l'open-space !) me conviennent très bien. Je ne dirai rien de mes relations avec mon patron en revanche,
pour ne pas donner l'impression que je suis complètement inapte à la vie en entreprise... (il est vraiment spécial, je vous jure...) Commence en
tout cas une période inédite dans ma carrière professionnelle, puisque je parviens à rester plusieurs années d'affilée dans la même boîte. Plus de
démissions en claquant la porte ou en pleurnichant ! Je profite de cette
stabilité pour acheter en 2014 l'appartement de Belleville dont je suis locataire depuis 7 ans déjà (un appartement qui aurait besoin d'un sérieux
rafraichissement, soit dit en passant, mais que je laisse en l'état par pure flemme) et pour faire quelques voyages de par le grand monde.
Et sur le plan sentimental alors ? No comment.
No comment. No comment. No comment.