Amusé par la présence incongrue de névés en plein mois de juillet [jamais revus depuis 1992, probablement du fait du réchauffement climatique], je fis un peu de luge sur le sac en plastique de mon pique-nique.

Ce haut plateau était un lieu enchanteur, presque un cliché : des prairies verdoyantes, des fleurs à profusion, des chevaux en liberté, des rivières gaies et pures...
On se serait cru chez Heidi.