La fuite à Paris

Je ne connais presque personne sur la capitale, et je médite solitairement au cours de longues flâneries.

Je visite les musées, j'arpente les jardins publics.

Je farfouille dans toutes les bibliothèques d'arrondissement.

Le mardi après-midi, je m'inscruste dans un cours de norvégien, à l'Institut d'Etudes Scandinaves, dans une salle glaciale du Grand-Palais.
C'est le petit rayon de soleil nordique, la touche d'exotisme de la semaine.