La fuite à Paris

Le lendemain matin, dans le train rempli de travailleurs endormis qui me ramène sur Paris, je me demande où est mon chez-moi, s'il m'en reste encore un.

Les jours passent, une inquiétude me gagne, et la saveur de cette inquiétude est d'autant plus étrange que je suis fasciné par l'insupportable beauté poussiéreuse de Paris.

Parfois je me demande si cette beauté et cette sensation d'une ville sans limite, ne participent pas justement à mon angoisse.