Les deux hideuses photos que ma soeur a prises de moi, cet été 1990.


(dans ma main, un recueil de nouvelles de Boileau-Narcejac, et un bouquin d'informatique)



Les trois ignobles photos que ma soeur a prises de moi, l'été suivant.


Remarquez la tignasse abondante qui recouvre mon crane, à l'époque. Longtemps source de frustration (que voulez-vous faire de cheveux aussi touffus et rebelles ?), je la regrette bien aujourd'hui.

Remarquez également mon port simiesque, merci maman.